Les rambutans d’Aunty
La maison était de plain-pied au numéro trente-sept de la rue. Elle était modeste comme ma tante, comme ma grand-mère; comme mon oncle, moins. Ils y ont vécu plus de quarante ans avant de la vendre, contraints sous le poids des constructions avoisinantes dont le nombre d’étages croissait en même temps que l’augmentation du prix de l’immobilier.